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Évaluation à mi-parcours des membres du gouvernement : Le MESRI affiche un taux d’exécution de 39% 

Débutée le 7 août, l’évaluation des contrats d’objectifs des membres du gouvernement au titre du premier semestre de 2024 se poursuit à la Primature, ce jeudi 8 aout 2024.Dans l’après-midi, c’était au tour du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Pr Adjima THIOMBIANO, de présenter les résultats engrangés par son département au cours du premier semestre de l’année 2024. A mi-parcours, le MESRI affiche un taux d’exécution globale de 39%. De cette performance globale, il ressort des points forts et des points faibles selon le premier responsable.

Après avoir présenté l’état de mise en œuvre des activités inscrites dans son contrat d’objectif à mi-parcours de l’année 2024 au Chef du Gouvernement, Son Excellence Maître Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambéla , le Pr Adjima THIOMBIANO a indiqué qu’il y a des perspectives qui permettent d’avoir des motifs de satisfaction pour le reste de l’année. Globalement les taux d’exécution des activités vont de 30% à plus 90% avec un taux moyen 39% au premier semestre de l’année 2024, selon le Pr Adjima THIOMBIANO.Il a souligné que toutes les activités en rapport avec le fonctionnement ont des taux d’exécution bien appréciables.« Pour ce qui relève de l’investissement, c’est-à-dire les constructions, c’est là que nous avons un taux relativement peu appréciable. Mais nous fondons l’espoir que pour le reste de l’année, ces activités pourront trouver une solution », a laissé entendre le Ministre.

Selon le Pr Adjima THIOMBIANO, au cours des échanges avec Son Excellence, l’accent a été surtout mis sur la question de la résorption des retards académiques. Et justement dans la stratégie de résorption de ces retards, le premier responsable du MESRI a fait savoir que cette année, il a été bien discuté avec tous les acteurs des universités afin qu’ils mettent à profit leurs vacances pour dispenser des cours. Ces derniers ayant accepté ce sacrifice, il n’y a pas de raison selon le ministre, qu’à l’orée d’octobre 2024, son département ne puisse pas véritablement avoir un bon assez significatif dans la résolution de cette question de retards académiques.

DCRP/MESRI

LA PLUME

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