Mohamed Doumi appelle le peuple à sortir le 11 mai pour soutenir le capitaine Ibrahim Traoré
Mohamed Doumi, président de la Fédération Assalam internationale, ambassadeur de la paix universelle et observateur international des élections s’est prononcé sur l’actualité nationale le 22 avril 2024. Il a appelé le peuple burkinabè à sortir le 11 mai prochain pour soutenir la transition et le capitaine Ibrahim Traoré.
Mohamed Doumi, président de la Fédération Assalam internationale d’entrée de jeu a confié que depuis l’avènement du MPSR 2 avec à sa tête le capitaine Ibrahim Traoré, les lignes ont bougé dans la lutte contre le terrorisme. C’est pourquoi, il dit apporter son soutien à la transition et au capitaine Ibrahim Traoré pour qu’il puisse dérouler son programme de développement du Burkina. Pour lui, les VDP étant au front pour vaincre l’ennemi, il faut des personnes dans les villes pour veiller, être aux aguets contre tous ceux qui veulent nuire à la bonne marche de la transition. Dans cet élan, il a appelé le peuple burkinabè à sortir le 11 mai 2024 pour un grand meeting en soutien au capitaine Ibrahim Traoré. Celui-ci est convaincu qu’il faut aider le président de la Transition à réussir sa mission. Mohamed Doumi est clair que sans une libération totale du pays, pas d’élections. « Le capitaine Ibrahim Traoré doit rester au pouvoir jusqu’à la libération totale du territoire avant de parler d’élections », dit-il avant de souligner que l’on ne doit pas céder à la manipulation, car pour lui, les occidentaux qui parlent de démocratie ne l’appliquent pas chez eux. « Il nous faut une démocratie à l’africaine », a-t-il suggéré.
C’est pourquoi il a exhorté les politiciens à se mettre à l’écart et laisser les jeunes s’assumer. « Le modèle de gouvernance des politiciens est dépassé », a rassuré M. Doumi pour ensuite préciser que « le capitaine Ibrahim Traoré est en train de révolutionner la révolution ». Sur la rencontre des ministres en charge de la défense de la Côte d’Ivoire et du Burkina, Mohamed Doumi a salué cette décrispation de la situation. Pour lui, cette situation n’arrangeait personne et pouvait conduire à une situation dommageable. Il a laissé entendre que le Burkina et la Côte d’Ivoire sont des pays frères qui doivent continuer de l’être. Quant à l’expulsion des 3 diplomates français, le président de la Fédération a salué une souveraineté assumée du pays des hommes intègres. Pour ce faire, il a invité les autorités françaises à respecter le choix des autorités burkinabè.
Djamal Ouédraogo
la-plume.bf