
En ce moment difficile que traverse notre pays, le Burkina Faso, il est crucial de se rappeler que la cohésion nationale et l’unité sont les armes les plus puissantes face aux forces du mal qui cherchent à nous diviser. Le terrorisme, qu’il soit le fait de groupes armés ou de campagnes de déstabilisation médiatique, n’a pas d’ethnie, de région ou de religion. Il n’épargne ni les populations rurales ni urbaines et il touche tous les Burkinabè sans distinction.
C’est pourquoi, aujourd’hui plus que jamais, nous devons nous unir, au-delà de nos différences, et résister à la tentation de la haine et de la division. Les récents événements nous interpellent tous sur la nécessité de nous unir et d’oeuvrer tous pour la paix et la stabilité du pays des hommes intègres.
Le Burkina Faso a toujours été une terre de fraternité et de solidarité, un terreau de diversité où nos différences ont fait notre richesse. Nous ne pouvons pas laisser des individus malintentionnés ou des groupes externes détruire ce patrimoine immatériel. Le gouvernement a, à juste titre, appelé à une vigilance accrue, et nous devons tous répondre à cet appel. Chacun de nous, en tant que citoyen, a la responsabilité de dénoncer les discours haineux et de refuser de relayer ces informations déstabilisantes.Le terrorisme ne fait pas de distinction entre les Burkinabè, et c’est dans cette lutte commune que nous trouverons la force de surmonter cette épreuve.
Les Forces de défense et de sécurité du Burkina Faso, avec le soutien des Volontaires pour la défense de la Patrie, combattent quotidiennement pour nous garantir la paix et la sécurité. Il est impératif que nous leur apportions tout notre soutien, en restant solidaires et en gardant l’espoir d’un avenir meilleur.Dans ce combat contre l’extrémisme, la division est notre pire ennemi. Il est crucial de se rappeler que derrière chaque attentat, chaque agression, chaque violence, il y a un seul et même objectif : briser notre unité et notre détermination. En nous divisant, nous leur donnons une victoire qu’ils ne méritent pas.
Nous devons, par conséquent, faire preuve de discernement, rejeter la haine sous toutes ses formes et ne pas tomber dans les pièges tendus par ceux qui cherchent à saper notre fraternité nationale. Le terrorisme, qu’il prenne la forme d’une attaque armée ou d’une campagne de manipulation médiatique, ne nous arrêtera pas si nous restons unis. Ensemble, nous ferons front contre les forces de la division et de la violence.L’avenir du Burkina Faso repose sur notre capacité à rester unis. Le terrorisme n’aura pas le dernier mot. Le Burkina Faso restera une nation de paix, d’unité et de prospérité, malgré les défis.
La Rédaction